On a passé une super soirée avec un groupe d’amis, 8 personnes ! l’accueil au top, musique très sympa, on a beaucoup apprécié le changement de concept depuis le nouveau propriétaire. On recommande
Première fois au news 2.0
Pensé a réserver un carré....sinon attention a l'attente si il y un showcase...
Dj moyen ...
Pour la direction...
- accepté le cash (pièce)au bar (j'ai dû faire une carte pour une bouteille d'eau)
Sinon les toilettes....une calamité...
Plus de 2h d’attente (au froid évidement), pour finalement se faire refuser l’entrée parce que 3 gars/1 fille ce n’est pas « conforme » à leurs attentes mais évidemment « c’est partout comme ça dans les ✌🏼vraies boites✌🏼 ».
Lorsqu’on sort de cette crise sanitaire on évite de recaler des personnes qui étaient prêtes à claquer je ne sais combien pour la soirée.
Apriori ils ne sont pas en manque de revenus.
Je ne recommande absolument pas cette boîte de nuit, avec des videurs qui vous prennent de haut pensant que leur boîte est « sélecte » alors que ce n’est qu’une pauvre boîte claquer de campagne 😘
Ahhh j y ai passé un bon moment en regardant de jeunes joueurs de rugby en plein bizutage...🤣
Bon comme partout.... Le mojito manquait de rhum... Mais détour à faire pour y rencontrer le grand propriétaire !!
Boîte de nuit raciste, les videurs ne nous ont même pas laissés entrer. Ils nous ont dit que c'était une soirée privée mais pourtant, ils n'avaient aucune preuve à nous montrer.
Club très sympa ! Bonne ambiance, les personnes qui l'a fréquente sont moins d'être "lourds" ! Les programmations sont parfaites pour les fan de techno
La salle n'est pas géante mais loin d'être déstabilisant
Seul bémol : la salle du haut (espace accès fumoir et "détente") n'est pas bien isolée du fumoir...
Première soirée au dorliss, les gérants d'une gentillesse incroyable, ambiance vraiment sympa, j'ai passé une super soirée, j'y reviendrais sans hésiter
Je suis choquée de la scène qui s’est déroulée où le videur a roué de coups la jeune. Je ne reviendrai plus jamais. Trop de violence et d’agressivité, les patrons complices!